Notre actualité est effrayante. Nos paroles et nos actes ne sont plus ceux du Burkinabè. Il faut le reconnaitre, l’accepter, afin d’envisager un remède à la hauteur du mal. Certes, le pays va mal : les terroristes ne font que gagner du terrain. Ils nous tuent et nous voulons nous tuer d’abord ! Les tentatives…
Floraison de menaces de mort, l’âme du Burkinabè est-elle « morte » ?
Par: Reporter
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