Deux mois après le coup d’Etat du 24 janvier, il faut se rendre à l’évidence. La sauvegarde et la restauration promises ont un goût de plus en plus amer pour certains Burkinabè. La pilule a du mal à passer. Comme Roch Kaboré qui a refusé de gouverner le pays après son élection, le Lieutenant-Colonel Damiba…
TRANSITION AU BURKINA: Arrêter rapidement le désastre en cours
Par: Reporter
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